< pari >
Marqué par un pari, une fête scolaire où le parieur devait déterminer la date de naissance de l’ânon ici présent, pour enflouer le sous des écoles et gagner un jambon. Le buraliste avec son beau-père vinrent au stand, le beau-père prit deux tickets, sur lesquels il inscrivit deux dates sises près d’un an avant, lors que l’ânon avait au plus 4 mois. Le buraliste lui fit remarquer son erreur, à quoi répondit le beau-père qu’il savait, mais bon, ça leur fait des sous. Je ne vois pas ça comme de la générosité gratuite. Ce qui m’a marqué, c’est la stupidité de l’acte, plutôt le suicide parfaitement conscient d’un tel acte. Parier volontairement sur le mauvais cheval, sans témoins, sans le clamer, sans spectacle. Jouer et être le seul à savoir à l’avance, bonhomme, le résultat.