< déviance de cadre blanc >
J’étais en visite en Thaïlande. Je devais vérifier qu’un sous-traitant traitait bien ses ouvriers. Une histoire de deux trois jours, pas plus. Ma femme m’avait encore appelé. Dès que je suis pas là, faut qu’elle m’appelle. J’avais passé la journée à visiter l’usine. Que des bonnes femmes, qui bossent là-dedans. On a même visité les dortoirs. Un truc tout petit qui pue. Y en avait une qu’avait un super cul. Elle l’a vu, le directeur l’a vu, elle est venue me voir après le travail, dans ma chambre d’hôtel. Une vraie salope. Je comprenais pas un mot de ce qu’elle disait, mais c’était pas la peine. Elle s’est désapée, elle a ouvert les jambes, debout, s’est passé un doigt et m’a fait signe de venir. Elle tenait à ce que je la prenne sur la table. Elle avait amené un énorme gode en bronze, avec une grosse base, qu’elle s’est mise dans le cul. Quand j’ai déchargé, on a appelé mon collègue, il l’a prise et moi je la fouettais avec un bâton de bambou, sur le visage, les seins. Le mieux c’est quand elle nous a filé un numéro de téléphone. Elle nous a mimé l’appel, qu’on devait dire quelque chose comme « molaa ». On est tombé sur un gosse, on a dit le mot, et une heure après deux mômes de dix onze ans sont venus à la porte. Ils sont entrés à peine on avait ouvert la porte, ils regardaient derrière eux comme s’ils avaient peur. De suite ils se sont mis à poil, leur petite bite marron qui pendouillait, ils se sont retournés et nous ont montré leur cul. C’était tentant. Ils étaient si dévoués, ils se faisaient enculer, ils nous suçaient, on s’amusait à leur verser des mignonnettes de whisky dans la gorge pendant que l’un de nous les enculait, ils semblaient adorer, en tous cas ils en redemandaient, mais pas très excités non plus, très serviles. On a fait tout ce qui nous est passé par la tête. On les a fait pisser dans des grands verres qu’on a fait boire à l’autre, on s’est mis à deux pour en enculer un, on leur a déchargé sur le visage et l’autre devait lécher. Ça c’était quand mon collègue a déchargé, à mon tour j’ai pas pu résister, j’ai lécher mon sperme sur le visage du gamin, dans sa bouche, puis je lui ai collé mon cul sur le visage et il a léché le trou de balle. J’aurai voulu me marier avec ces gamins. On savait plus quoi faire, au bout d’un moment, on avait déchargé et on était à court d’idées, et eux ils restaient là, à attendre la suite. La fille elle avait oublié le bâton, et je sais pas pourquoi, mais de les voir là à attendre quelque chose, et puis le bâton dans le coin, j’ai pas pu résister, j’en ai frapper un, je l’ai frappé et frappé et frappé, j’ai jamais eu une telle rage, je me contrôlais plus du tout, je crois même mon collègue il s’est demandé ce qu’il se passait. Quand j’ai arrêté de cogner, j’étais épuisé, et la tête du môme elle était couverte de sang, c’était rouge et noir, le môme il bougeait plus, j’ai quand même poussé un peu l’épaule pour voir, mais il bougeait plus, et pour la première fois il y avait quelque chose dans les yeux de l’autre. Quand j’ai vu ça j’ai été complètement excité, je sais pas ce qui s’est passé, j’ai pété un câble, j’ai vraiment cru que je devenais dingue, j’avais conscience de ce qui se passait, je savais que c’était moi, mais c’est comme si j’étais devenu un autre, j’ai foncé sur le gamin et je l’ai mordu au visage, il a commencé à crier, j’étais heureux d’entendre sa voix pour la première fois, en plus, puis j’ai senti sa langue sortir et je l’ai mordu, mais je crois que je voulais l’embrasser, en tous cas elle m’est resté entre les dents, et je l’ai mordu encore, j’ai mordu son corps, je crois que j’ai mordu sa bite, mais je voulais la sucer, c’est stupide vous me direz, il bandait même pas à cet âge-là. Après je sais pas ce qui s’est passé, je sais juste que ça a continué encore un moment, mais ça, c’est vous qui me l’avez dit.
-- Bon. Signez là.