< Jad-Volantis Phrasé >
samedi, septembre 17, 2005
  < errance >
Démones.
Diables en furie flottant(e)s. Des esses. -- Tante.

En filigrane escompté chaud, tu sais.
Légende d’apparat, au ras-le-bol enfourné, j’acclame les restes du cœur, et m’en vais saler des filles (fruits, fuites).
Lilabor crève et s’en rit, et puis crève et s’en fuit, mais ne rit. Et puis gît.
Acclamation de l’estomac écœuré, j’applaudis.
Gigantesque selle en amer rougissant, je te scie, l’amande. L’amande éclôt et se vaut bien pour creuse. Mais.
L’aventure à beau marché, c’est les pleurs riants, amer écœure, et se noie. J’use les plaines à marcher droit.
Lilabor rigole et en veut, encore, mais j’estime, et tords, qu’elle aspire, au vent, salive.
Tu pleures et n’en peux, space gigogne.
Plouc amoindri se rit des torticolis et j’en ressemble assez, mais ne veux, aspiré de son stuc, et le creux.
Plus avant les escaliers (escalators, escaladant) gisent un peu.
Le tarmac mouillé resplendit dans la nuit, et j’estime.
Lilabor meurt encore, agonise en pleurant, encroûte mes oreilles de sons désastreux seuls. Je frémis. Je m’ennuie.
Je pars à la recherche d’une estudiante amène, mais me perds. Et s’envole.
Des babioles entre tous et les gigues au bal tombent. Trente secondes. « Départ immédiat voie B. »
Les splendides enfermés me narguent vérolés. Les ficelle.
Cloaque puant fumier, foutoir fumant salaud, caressant tes parjures tu crèves, tu maudis la terre entière, crécelle ordure, chante ta mère. Que tu désespères. Je te pierre. J’ai un Job Caché sous la peau. Silencieux (méandreux).
Et m’en vais plus te voir, ailleurs chercher me perdre. Je me fuis.
 
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